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Légaliser le cannabis thérapeutique : ouvrons le débat !

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Tags : cannabis thérapeutique, handicap, cannabis, législation, procès, presse, relaxe, condamnation, tribunal, légalisation, légalisation du cannabis thérapeutique, usage thérapeutique, douleur, antalgique, recherche, nausées, vomissements, chimiothérapie, radiothérapie, cancer, réduction de la spasticité, spasticité, SEP, Sclérose en plaques, Marinol, ANSM, Autorisation Temporaire d'Utilisation, ATU, maladies graves, maladies chroniques, maladies orphelines, maladies évolutives, santé, désobéissance civile, Faire Face, Daniel Vaillant, Canada, Clubs compassionnels, Australie, Hollande, pharmacies, GB, Nouvelle-Zélance, Espagne, Cannabis social clubs, USA, Buyers Clubs, prescription médicale, Italie, médicament, Jean Constantin, Alain Rigaud, témoignages, UFCM, Union francophone pour les cannabinoïdes en médecine, exception handicap, drogues, guerre aux drogues

Quelques petits détails désinformationnels sont à relever ça et là mais ils ont le mérite d'amener dans le débat encore des personnes qui ne devraient pas être des victimes des lois. Par contre encore une fois je ne vois toujours pas pourquoi il n'y aurait qu'uniquement les handicapés (et en plus pas tous, seulement certains qui sont atteint de certains handicaps, hein) qui auraient d'avantage le droit que les autres, de se soigner, alors leur "exception handicap" c'est clairement de la discrimination positive pour ceux qui y auront droit, et de la discrimination ségrégationnelle envers les autres handicapés qui eux, ne tomberont pas sous le coup de l'exception, ainsi que des autres malades et de tous les usagers en générale. Cela dit, en admettant qu'une « exception handicap » - puisqu'ils appellent ça comme ça - passe, il se pourrait bien que ça emboîte le pas sur d'autres exceptions d'autorisations (ou pas, et justement ça fout la trouille ce doute), et petit à petit on se rapprocherait de la normalité, c'est à dire que tout le monde puisse choisir le cannabis comme médication.
Un autre détail qui ne tient pas debout, ils titrent leur paragraphe 2 "prescriptions à doses homéopatiques" et ensuite ils parlent des « effets secondaires » qu'on ne ressent uniquement qu'à fort dosage (la somnolence, les difficultés de concentration).
Puis ils appellent la paranoïa "l'anxiété", ce qui a mon sens est quand même relativement différent, or le cannabis retire l'anxiété mais il est vrai qu'il peut provoquer, pendant le tout début du traitement et après des pauses plus ou moins longues sans cannabis (pendant la période où le corps s'habitue), un court moment de paranoïa (quelques heures, peut-être jusqu'au sommeil, mais au grand jamais le lendemain). Cette période de paranoïa se reproduira (ou pas d'ailleurs!), plus ou moins poussée selon les personnalités et les moments de leur existence, à chaque reprise du cannabis après un arrêt de plus de 24 heures, car au bout d'une journée sans consommer, le corps s'est déjà déshabitué. (mais des traces de THC restent plus d'un mois dans le sang...) Tous ces détails sont le résultat de dizaines d'années d'observation et de pratique, de pauses parfois très longues (parfois plusieurs années, donc d'observation aussi en période "de dèche") à des reprises aussi très longues (toujours parfois plusieurs années).

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